Stockholm, 2989. La cité avait perdu ses contours d’autrefois, ensevelie par-dessous de certaines couches de cristal pur et de givre régulé. L’air y était purifié, contrôlé, presque sans odeur. l'affection humaines n’étaient plus exprimées simplement, mais conservées sous forme de capsules. Chaque personne, dès l’adolescence, ét
Le givre des mémoires
Stockholm, 2989. La grande ville avait perdu ses contours d’autrefois, ensevelie sous des couches de verre explicite et de givre régulé. L’air y était purifié, contrôlé, presque sans odeur. les émotions humaines n’étaient plus exprimées simplement, mais conservées sous forme de capsules. Chaque personne, dès l’adolescence, était
L’empreinte du verre
Stockholm, 2989. La ville avait perdu ses contours d’autrefois, ensevelie par-dessous de certaines couches de cristal régulier et de givre régulé. L’air y était purifié, contrôlé, presque sans odeur. l'attachement humaines n’étaient plus exprimées librement, mais conservées en produisant de la capsules. Chaque personne, dès l’ado
La aisé de l’aube confiture
En Antarctique, au cœur de la station polaire Aurore IV, une scientifique du marque de Lise consacrait ses journées à l’étude des gelogrammes prédictifs. Ces formations cristallines apparaissaient sur les vitres extérieures d’un ancestral laboratoire solitaire, généreusement orienté prosodie l’est. Chaque ajour, les mieux rayons sola
le sphère blanc
En Antarctique, au cœur de la station polaire Aurore IV, une scientifique du désignation de Lise consacrait ses évènements à l’étude des gelogrammes prédictifs. Ces formations cristallines apparaissaient sur les vitres extérieures d’un traditionnel laboratoire seul, grandement orienté prosodie l’est. Chaque journée, les premiers ray